Tyrion le nain
Tu aimes tant aimer, Ô toi le mal aimé, Le lutin contrefait, aviné, débauché. Ainsi ta sœur te voit, ainsi ton père pense Toi qui as tué ta mère le jour de ta naissance. Rejeté, humilié, tu t’es fait une armure Contre les quolibets que dans ton dos murmurent...